Contexte général
A la veille des élections de 2015 la situation politico sociale tourmentée est justifiée par la volonté des uns et des autres de faire obstacle à tout ce qui pourrait se retrouver sur leur chemin vers la victoire. Des confrontations entre les jeunes affiliés aux partis d’opposition et ceux du parti au pouvoir créent une situation inconfortable au niveau sécuritaire dans le pays et ce sont les simples citoyens qui en sont victimes.
La situation s’est empirée au moment où le Président actuel a annoncé sa candidature aux élections présidentielles de 2015. Des protestations contre cette candidature ont été organisées par les partis d’opposition et une grande partie des organisations la société civile. Durant ces protestations, de graves violations des droits humains sont commises.
Cas de violations des droits humains
La volonté de Pierre Nkurunziza de briguer le 3ème mandat a créé une tension au niveau national. Ce qui a occasionné un nombre croissant de la population à quitter le Burundi pour se refugier dans les pays voisins[1].
Au lendemain de la déclaration officielle de la candidature du Président Nkurunziza en date du 25/04/2015, des manifestations contre cette candidature ont débuté dans les rues de la capitale et dans certaines localités à l’intérieur du pays. Ainsi, des graves violations des droits de l’homme sont enregistrées.
Sans faire une énumération exhaustive, voici ci-dessous les cas de violations des droits humains tels que récolter et interpréter juridiquement :